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23 août 2013 5 23 /08 /août /2013 06:54

Jean-Lassalle-cesmall.jpgTous derrière Jean Lassalle !

 Depuis le 10 avril 2013, Jean Lassalle a  entamé une longue marche au travers du pays afin d’aller à la rencontre des français, pour les écouter, pour leur tendre une main, pour, pas après pas, participer à re tisser un lien de confiance….

Jean a parcouru, à ce jour, en marchant près de 4000 km .

J’ai tenu à aller à sa rencontre pour lui apporter un soutien, aussi minime soit il. J’ai pu, ce dimanche 18 août être à ses côtés pour  17km en direction de St Etienne (Loire).

J’ai pu constater combien l’effort réalisé par Jean est exceptionnel, tout comme l’accueil qu’il reçoit tant de la part des élus de tout bord, des territoires qu’il traverse, que des « gens » qu’il rencontre. Sans compter son temps, et sans faire cas de sa fatigue, il écoute, il note, il laisse son numéro de portable….la joie et l’émotion dans les yeux de ceux qu’il aborde est prégnante.

Une démarche de folie, mais une folie revigorante, une de celle qui vous donne envie de soulever des montagnes !

Action hautement politique dans tout ce que la politique a de noble, mais non partisane. Elle est un effort hors norme du quotidien : effort physique, par les Km de marche accumulés, effort personnel par l’éloignement de ses proches depuis plusieurs semaines et effort financier. En effet, l’assemblée nationale a sanctionné Jean pour ses absences (du fait de sa marche), ses indemnités ont été réduites de moitié, le financement de cette « marche » repose sur les finances personnelles de Jean, qu’il assume sans rien demander.

Jean est de notre famille politique, alors comme une famille est attentive quand un des siens vit un moment fort, soyons solidaires et fiers de ce défi, soyons aux côtés de Jean.

Un soutien que nous pouvons lui apporter simplement en remplissant les cahiers de l’espoir et en les faisant partager et remplir autour de nous, voir lien suivant : http://www.ledeputequimarche.fr/blog/cahiers-de-lespoir/ ,

et pour ceux qui le peuvent en faisant un don même modeste,  à l’association qui s’est créée pour l’aider, cf lien suivant http://www.ledeputequimarche.fr/blog/faire-un-don/

Plus d'informations : http://www.ledeputequimarche.fr/blog/

Le combat que Jean engage aux quatre coins de France contre le défaitisme et la résignation doit être aussi notre combat, pour cela tout le soutien, que nous porterons à Jean sera une force précieuse !....

Je compte sur vous et je vous en remercie très sincèrement.

Je reste à votre écoute pour toute question ou suggestion.

 Très amicalement

 

Christine ESPERT

 

Ps : vous trouverez via ce lien un article de Jean qui explixite sa « marche »: http://www.huffingtonpost.fr/jean-lassalle/il-est-urgent-de-remettre_b_3768437.html?utm_hp_ref=tw

 

 

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30 juillet 2013 2 30 /07 /juillet /2013 21:59

Réponse à monsieur Bourquin, président du conseil régional du Languedoc-Roussillon et sénateur des Pyrénées-Orientales, suite à sa lettre à JF Copé et son "don de 150 euros" à l'UMP.

voir lien:http://www.lindependant.fr/2013/07/30/christian-bourquin-fait-don-de-150-euros-a-l-ump,1779440.php

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Monsieur Bourquin, si réellement vous étiez sincèrement attaché au pluralisme démocratique dans notre pays comme vous l'affirmez dans votre lettre, vous auriez dû alors défendre avec toute l'énergie que l'on vous connait, le scrutin proportionnel, et le non cumul des mandats, ...Vous auriez peut être pu, dire un mot "républicain", en juin 2012 lors des législatives, lorsque François Bayrou a dû affronter à Pau,le sectarisme de votre parti....Si vous respectiez tant les institutions, vous n'auriez pas eu les mots, insultants que vous avez eus pour la cour des comptes qui a publié un rapport édifiant sur la gestion du conseil régional en Languedoc Roussillon...
...Ce "don" sera "un coup" de plus....un de ceux qui décrédibilisent la classe politique.....

 

Christine Espert

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23 juillet 2013 2 23 /07 /juillet /2013 10:09

C’est avec la plus grande fermeté, que je condamne les propos*tenus par M Bourdouleix, député maire de Cholet : à la fois négationnistes, parce qu'ils minimisent l'ampleur de ce qu'a été le génocide tzigane  et à la fois sous entendent qu'il aurait fallu en faire plus: des propos d'une violence inouie qui tendent à l''apologie de crime contre l'humanité !, 

Répondre à la provocation des gens du voyage l’accueillant par un salut nazi, par des propos d’une telle violence est intolérable et irresponsable.

Rien, absolument rien n’excuse les propos tenus par m. Bourdouleix ! Et M Valls a eu raison de saisir la justice ...

 

L’escalade de violence : verbale et morale de ces derniers jours est terrible.

Les propos, inadmissibles de monsieur Bourdouleix, député maire de Cholet, s’ajoutent aux violences de Trappes, aux suspicions  d’agressions lors de l’accident de train à Bretigny/Orge,

Violence aussi d’un pays comme la France où prés de 2 millions de jeunes sont au chômage et où 900 000 d’entre eux ne sont ni en formation, ni en étude, ni en recherche d’emploi….900 000 jeunes de moins de 26 ans qui dans notre pays n’attendent plus rien de l’avenir !

Face à une telle réalité, plus que jamais, le projet humaniste que nous portons doit s’affirmer fermement et sans complexe. Nous devons aborder tous les sujets absolument tous !

N’hésitez pas à me transmettre par mail (c.espert@lesdemocrates.fr) vos avis.

 

Nous devons mettre nos mots sur les maux du pays ! il y a urgence !

 

Christine ESPERT

      * A l'occasion d'une visite d'un campement des gens du voyage,  M Bourdouleix a prononcé la phrase "(...) Hitler n'en a pas tué assez" (...)

nb: un article qu'il est bon de lire, pour bien peser la gravité de ces paroles: http://www.slate.fr/story/75746/hitler-tues-roms-bourdouleix

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5 juillet 2013 5 05 /07 /juillet /2013 21:55

Christine-Espert-MC.jpgD’ici quelques mois nous aborderons les élections municipales. Ce scrutin revêt  une dimension toute particulière et bien différente des autres : celle de la proximité avec nos concitoyens, de leur quotidien, et de leur réalité.

Depuis plusieurs mois notre Mouvement s’y prépare. Et nous serons présents. Marc Fesneau, secrétaire général du Mouvement Démocrate a rappelé dans un bon article du "courrier des maires" l'état d'esprit dans lequel nous aborderons cette échéance et la méthode de travail pour notre Mouvement. 

Je partage absolument les points qu'il aborde et je tenais à ajouter les suivants: nous abordons cette séquence convaincus, que les partis politiques dans leur forme actuelle ne peuvent pas répondre aux enjeux qui sont face à nous tant localement que nationalement. Dans un récent sondage, 82% des français interrogés exprimaient un rejet et un sentiment de défiance vis-à-vis des partis politiques.

Il faut donc changer la donne !

L’échéance municipale par sa dimension au plus prés des réalités est certainement celle qui doit permettre de s’affranchir de pratiques usées et usantes.

Comment ? par une méthode de travail, par un état d’esprit par une volonté d’exigence.

Notre méthode de travail pour préparer cette élection est simple et claire :

Dans chacune des villes où nous serons présents  les équipes sont en train d’élaborer des diagnostics précis et affinés de ces territoires : de leurs forces et de leurs faiblesses, en particulier sur les questions liées à la qualité de vie (logement, transport, sécurité), aux aspects financiers : fiscalité, endettement…mais aussi à l’ambition de faire de la collectivité un levier efficace pour favoriser la production locale.

Pour réaliser ce travail et les propositions qui en découleront, l’objectif  est de s’entourer de toutes les personnalités qui ont fait la preuve de leurs compétences sur ces sujets, dans le cadre professionnel, associatif ou politique.

Nous affirmons préférer l’efficacité pour le quotidien de nos villes aux pratiques habituelles partisanes archaïques qui sont incapables aujourd’hui de réaliser les synergies utiles et indispensables pour répondre aux enjeux actuels.

Nous assumons parfaitement notre ambition de construire des majorités rassemblées non pas derrière un étendard partisan, mais rassemblées par une volonté d’exigences. Volonté qui s’appuie pour cela sur  une charte d'engagements   qui vont : du sérieux budgétaire que nous nous imposerons, au renouvellement des pratiques politiques ….

Nous sommes au Mouvement Démocrate, les seuls à pouvoir imposer une telle offre, car notre force est notre liberté !

Notre démarche est politique mais non partisane, et nous l’assumons.

Soyons fermes : notre approche n’est en rien de « l’à peu prés »,  « des coups », «  de la géométrie variable ».  Refusez ces propos !

Notre démarche est au contraire : structurée par sa méthode, ambitieuse par sa volonté et sa recherche permanente d’efficacité et de pragmatisme pour nos villes et le quotidien de nos concitoyens, et hautement politique par le choix qu’elle s’impose de sortir des « dogmes » et des carcans.

Elle est à l’avant-garde, affirmons la, assumons la, et expliquons la.

Notre ambition pour ces échéances municipales pourrait être résumée en 4 mots :

Efficacité, compétences, exigences et liberté !

Nous comptons sur vous pour porter haut et fort et avec enthousiasme aux quatre coins de France, au cœur de nos territoires dans nos villes et nos villages, cette ambition et cette énergie !

Christine Espert

 

 

 



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11 juin 2013 2 11 /06 /juin /2013 21:27

J'étais l'invitée de "la revue de presse" de LCI ce 8 juin, interrogée par Phlippe Ballard.

Retrouvez la vidéo en cliquant ici

 

LCIjuin.jpg

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8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 15:32

Je trouve consternante la "course à l’échalote" que se livrent certains ministres ou parlementaires pour "rendre public" leur patrimoine, et profiter à l'occasion de faire en sorte que l'on parle d'eux ! Cela n'est pas à la hauteur de l'enjeu qui est de retrouver un climat de confiance entre le monde politique et les citoyens. Confiance gravement atteinte par l'affaire "Cahuzac". Nous voulons de ceux qui sont en responsabilités des décisions et des actions courageuses qui fassent table rase des pratiques actuelles, qui donnent du souffle à notre démocratie, qui remettent de la confiance entre élus et citoyens, et des décisions qui aident le pays à avancer démocratiquement, moralement et économiquement. 

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3 avril 2013 3 03 /04 /avril /2013 08:22

Lors de mon passage sur LCI début mars je rappelais l’impérieuse nécessité de faire de la reconquête de la confiance un objectif vital pour le monde politique français. La confiance ne reviendra que dés lors que la vérité sera la clé de voute de l’action politique qui doit être moralisée.

La multiplication des affaires, dont les dernières : Guérini et Cahuzac sont absolument intolérables ! Elles jettent à la face des citoyens l’image d’une classe politique dégradée, intéressée et sans vergogne….

Un constat qui va alimenter les discours des extrêmes.

Alors il faut que les pratiques changent et qu’elles changent vite, que des signaux forts soient envoyés !

Aujourd’hui le conseil des ministres se réunit pour examiner le projet de loi de non cumul des mandats…..Si notre président de la République est à la dimension d’un chef d’Etat, il doit prendre conscience de la déstabilisation majeure que l’affaire Cahuzac représente, et doit balayer la petite combine partisane que représente une adoption de la loi du non cumul en 2014 pour une application en 2017, et exiger que ces premières mesures soient applicables dés 2014 quelle qu’en soit les conséquences sur son parti et imposer dans la foulée le référendum de moralisation de la vie publique proposé par François Bayrou lors de la campagne présidentielle de 2012….

Nous serons fixés sur la dimension réelle de notre président de la République d’ici quelques heures….

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3 mars 2013 7 03 /03 /mars /2013 19:19
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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 17:43
SpangheroL’affaire de la présence de viande de cheval et non de boeuf dans les plats cuisinés, est un scandale alimentaire, qui met en évidence avant tout le manque de bon sens de tout un système.

D’une part le circuit de la denrée de base jusqu’au plat cuisiné est hallucinant par le nombre d’intermédiaires et leur éparpillement géographique et d’autre part les règles de l’étiquetage sont incompréhensibles.

Pourquoi les produits de sortie d’abattoir n’ont-ils pas l’obligation d’être étiquetés avec les mentions simples du nom de produit ? Si les produits livrés à l’entreprise audoise, avaient porté en plus du code ad hoc, la mention en toutes lettres « viande de cheval », personne ne pourrait se cacher derrière un code incompréhensible, laissant alors planer un doute sur les responsabilités.

Pourquoi permet-on sans aucun contrôle ou obligations des intermédiaires types trader, à intervenir tout au long de la chaîne alors qu’ils n’y amènent aucune plus-value en termes de production, si ce c’est des spéculations financières ?

Aujourd’hui cette affaire, doit nous obliger à repenser nos stratégies alimentaires à l’échelle nationale d’une part pour favoriser les circuits les plus courts possible entre le producteur et le consommateur, et pour accompagner les consommateurs vers d’autres modes de consommation qui doivent donner plus de place à la qualité qu’à la quantité.

Et à l’échelle européenne d’autre part, il faudra revoir les conditions d’étiquetage, imposer des mentions simples et de bon sens tout au long de la chaîne de production et limiter les interventions de professionnels extérieurs à la fabrication (traders).

Mais aujourd’hui l’urgence est celle des salariés de l’entreprise audoise Spanghero.

Cette situation se produisant par ailleurs dans un contexte très difficile : Le département de l’Aude est un des plus pauvre de France où le taux de chômage est supérieur à la moyenne nationale.

Toutes les enquêtes doivent être faites dans la plus grande clarté et les résultats rendus dans un souci permanent de transparence mais d’ores et déjà nous demandons la mise ne place d'une cellule de crise large rassemblant les services de l’Etat, les collectivités (ville de Castelnaudary, Région et département), les institutions concernées et les représentants des salariés et de l’entreprise ainsi que la coopérative Lur Berry (propriétaire de la société Spanghero) afin d’anticiper toutes difficultés liées aux suites qui seront données à cette affaire et sécuriser ainsi les salariés de l'entreprise Spanghero.. 
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31 janvier 2013 4 31 /01 /janvier /2013 17:37
Sociétés d'autoroutesAlors que les tarifs de péages continuent à augmenter, les chiffres annoncés des bénéfices des concessionnaires des autoroutes (ASF pour ce qui nous concerne dans la région Languedoc-Roussillon) sont simplement indécents : 788 millions d’euros après impôts en 2011 pour les ASF.

Soit un bénéfice en hausse de 78 % par rapport à celui de 2005, date de la vente par l’Etat des autoroutes à des sociétés privées.

Dés 2005, François Bayrou avait dénoncé, les conditions de cette privatisation qu’il disait « faite en catimini » !

En 2007, Philippe Seguin alors président de la cour des comptes pointait, dans un rapport sévère, un déséquilibre très net de la concession en faveur des sociétés privées au détriment de l’Etat.

Aujourd’hui, alors que la crise se durcit pour tous, alors que des bénéfices hors normes sont engrangés, le gouvernement ne peut pas se cacher derrière son petit doigt et dire « c’est la faute aux gouvernements UMP précédents ». Il doit faire preuve de volontarisme et de fermeté et rapidement :

- demander le gel de toute nouvelle hausse des péages

- Imposer la présence d’au moins une caisse avec personnel par gare de péage (ce qui n'est plus le cas), qui doit permettre entre autre aux usagers d’utiliser les chèques vacances.

- Augmenter la taxe aujourd’hui de 0,32% qui s’impose aux concessionnaires et qui est destinée à financer les lignes ferroviaires déficitaires, afin notamment d’accélérer la rénovation des lignes ferroviaires et la remise en service de lignes secondaires départementales ou régionales.

- Par ailleurs, les réseaux autoroutiers sont des axes majeurs, structurants et stratégiques de développement économique, nous souhaitons en conséquence que le devenir des concessions autoroutières fasse l’objet d’un débat à l’assemblée nationale.
 
Les enjeux d'aménagement du territoire, ne peuvent pas être fragilisés par les mauvaises décisions des uns et par le fatalisme ou la passivité des autres.
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